Depuis que tu es revenue ici tu te sens enfermer, déboussoler, et inutile. Tu regarde ton salon, toutes les couleurs te donne le tournis, ce mélange de pastel et de nacre te rappelle a quel point cette famille est fausse. Tout ici te rappelle que tu n'as pas envie d'être ici, si le sage ne t'avais pas envoyé ce mail pour venir tu ne serais pas venu, mais il y a ta sœur. Elle aussi, c'est pour elle que tu es revenue. Ta mère te demande si tu peux aller acheter des fleurs car elle des amies qui viennent ce soir. Tu refuse, mais au même moment le paternel rentre et tu décide de partir « Je me tire. C'est insupportable l'odeur de fausse culpabilités qui règne ici » tu claque la porte en sortant et tu ignore la réflexion qu'il te lance, tu grippe dans ta voiture et tu conduis en direction du sud. Tu arrive chez le fleuriste, et tu prends un bouquet au hasard, des roses blanches. Tu te recule et une jolie blonde te bouscule, tu t'apprête a la séduire lorsque tu la reconnais, la petite sœur de ta meilleure amie. Ta tête de turc « Sorensen junior !» Tu lui souris, elle a grandit de deux tête depuis que tu as quitté Lewis. Et elle est devenue plus jolie que lorsqu'elle était petite « Le temps as été généreux avec toi, t'est plus aussi vilaine qu'autrefois !» tu te souviens d'elle, souvent cacher dans les jupes de sa grande sœur ou de son jumeau, toujours a vouloir rester avec vous mais trop petite et trop pur pour être des vôtres « Comment vas tu ?» tu regarde autour de toi et tu te demande comment les fleurs font pour rester en parfaite état dans cette ville elle même fanée.

L'anniversaire du décès de sa mère approcha a grand pas et la jeune fille décida d'aller seul au cimetière pour parler un peu avec sa mère. Sa lui fessait toujours du bien de se vider l'esprit là-bas et de parler avec elle. Shoshana n'étais pas folle, elle pensait juste que d'une façon ou du autre sa mère l'entendait et qu'elle lui envoyait des messages dans chaque petite chose qu'elle voyait. Elle arriva au fleuriste du centre ville, le seul fleuriste de la ville. J'ai un prénom tu sais !» Elle leva les yeux au ciel, elle ne le supportait pas. C'étais ainsi depuis toujours, elle ne pouvait pas le voir en peinture, tout le monde connaissait Shoshana pour sa gentillesse et la politesse donc elle fessait toujours preuve. Mais avec ce garçon, c'étais différent. Elle était sur la défensive lors qu'il était dans les parages, depuis quelle était petite le jeune homme s'en prenait a elle et n'y allait pas de main morte ! Elle ne l'avais jamais dit a sa sœur, elle ne voulait surtout pas gâcher leurs amitiés. Elle avait appris a lui répondre et a passer outre ses provocation, mais avec tout ce qu'elle avait enduré en se moment, ce n’était vraiment pas le moment de la chercher  « Merci, malheureusement le mensonge et moi, sa fait deux alors... Ne t'attend pas a des compliments » Il lui aurait même offert un chaton ou un chiot qu'elle ne lui aurais toujours pas sourit. Alors ce n'était pas son commentaire débile sur son physique qui allait la faire sourire ou changer d'avis sur la personne. Et puis elle connaissait que trop bien ce garçon plus savoir qu'il n'étais pas une personne a croire. Bizarrement il ne semblait pas près a ce qu'elle soit aussi directe avec lui. Pourtant c'étais bien le cas, elle fessait tout pour s'éloigner de lui. Elle avait beau s'enfoncer dans le fleuriste, il la suivait en lui posant des questions « J'allais très bien jusqu'a ce que tu m'interpelle... Et toi ? Comment vas-tu, Applegate ?» Elle lui fit un sourire hypocrite et regarda des fleurs qui étaient suspendu en l'air. Des bouquets, encore et ce n'étais pas ce qu'elle voulait, elle voulait une plante simple... Même a Lewis, le simple se fessait rare. Il n'y avait qu'a voir l'allure de Jules, lunettes de soleil, t-shirt moulant et voiture flambants neuf, un vrai mec superficielle. Il lui fessait pitié, penser qu'a Lewis quelqu'un puise juger selon l'apparence était mal en connaitre les habitants

Tu l'écoute d'aboyer dessus, une minaude des bois on dirait presque. Un sourire se dessine sur tes lèvres, elle était plus froide qu'avant, avait elle perdu patience ? Ce petit jeu ne l'amusait plus ? Tu passe une main dans tes cheveux pour vérifier ta coiffure et tout en sentant des fleurs à coter d'elle tu lui lance « Toujours aussi sauvage ! Tu devrais sortir plus souvent pour te socialiser sa te ferais du bien » ton regard la boude, tu n'as pas envie de la regarder pour l'enrager, tu la connais assez bien la gamine. Elle s'éloigne un peu, et tu la suis, juste pour l'énerver encore u peu. Tout de même elle te demande si tu vas bien, elle restait toujours la petite pieuse poli. La croix autour de son coup et l'absence d'insolence chez elle montrait qu'elle était toujours la pure et douce petit Sorensen, plus rien avoir avec ses sœurs. « Je vais toujours bien, même quand j'ai a faire a des gamines mal poli » Elle n'est pas mal poli, loin de là et tu le sait, mais tout est bon pour faire enrager, et sa marchais. Il la suivit dans le fond de la boutique, « Et pour ta gouverne c'est colonel Applegate...» tu te la raconte et tu as raison, tu as monté les échos rapidement malgré tes addictions et ton comportement. Tu la regarde, elle et ses millions de tache de rousseurs, c'est jolie mais tu ne lui diras pas, et de toute façon elle ne te croirait pas. « Et toi ma petit voie lactée ? As tu réussit à trouver un travail ou serait il possible qu'enfin tu te rende compte que cette ville n'apporte rien de bien ?» Tu la suite jusqu'a l'extérieur ou elle regarde attentivement toutes les fleurs, les femmes et leurs hobbies

Elle ne semblait pas vouloir lui parler, pourtant il insistait et prenais un malin plaisir a l'énerver. Elle leva les yeux en l'air suppliant le ciel de vouloir le faire taire, ce des qu'il ouvrir la bouche. Lorsqu'il lui dit qu'elle était sauvage elle se tourna vers lui avec un regard noir, elle ne voulais ni mal lui parler, ni l'insulter mais elle n'avait plus de patience avec ce garçon « Je suis sociable avec les gens éduquer !» et paf ! Elle n'avais plus l'intention de le laisser l'embêter sans jamais répondre, elle avait grandit et elle n'irait plus se cacher sous les jupes de sa soeur, elle leva les yeux vers lui sans vraiment faire attention a ce qu'il lui disait. Elle était trop occuper « C'est cool pour toi...» trop occuper a choisir des fleurs convenable, toutes les fleurs du stand avait l'air de sortir d'un congélateur, elle soupira et se tourna vers son interlocuteur lorsqu'il lui demanda de l'appeler Colonel, elle pouffa de rire. Comment un garçon aussi peut sérieux pouvait il être nommée a un poste aussi important ? « Colonel ? Alors voilà a qui on confie des milliers de vies ? Un presque homme arrogant et surement sans talent certains pour la défense » elle sourit, non pas a lui. Mais a l'ironie de la situation, un imbécile dirigeant des personnes, le monde courrait a sa perte. Elle sortie dehors pour admirer les roses qui elles avaient l'air et étaient belles, elle se pencha pour les sentir quand il l'appela par le sobriquet stupide qu'il lui donnait lorsqu'elle était gamine, il se moquai souvent de ses taches de rousseurs « Ne m'appelle pas comme ça ! J'ai plus cinq ans j'peut me permettre de te coller mon poing dans la tête maintenant !» elle se tourna face a lui un regard noir et perçant a son intention, elle ne voulais pas vraiment lui mettre son poing dans la tête, elle n'étais pas comme sa, mais elle voulais qu'il comprenne qu'elle ne se laisserais plus faire par lui et qu'elle n'étais pas prête a plier devant lui, au même moment il lui demanda si Lewis lui avait apporter quelques choses de bien « Et pour info. Je travaille avec ton père, un homme charmant ! » charmant car il ne parlais jamais de son fils, et était loin d'être comme lui, elle se demandais comment il avait pu avoir un fils aussi méprisable.

« T'en sait rien sa ma belle... Je suis le meilleur pour sauter en parachute. J'ai toujours été douer pour m'envoyer en l'air » tu lui fais un clin d'oeil et tu passe délicatement ta main dans ces cheveux, avant qu'elle ne la dégage avec la sienne. Elle avait grandit pour devenir une très belle jeune fille, pas étonnant avec une soeur aussi belle que July comment aurait elle pu être laid ? « Non c'est vrai ta plus cinq ans...» tu la regarde sentir des fleurs à droite puis a gauche et tu lève les yeux, comment pouvait elle prendre autant de temps pour choissir quelques chose d'inutile ? Les fleurs servaient pendants trente seconde a rendre quelqu'un heureux mais après ? Rien. Elle te dit avec un grand sourire qu'elle travail avec ton père, toi tu perd le tien. Tu ne pouvais pas passer une journée sans que quelqu'un parle de ce vieux con ? Tu ne voulais pas qu'elle te dise qu'il était charmant, poli et gentil. Car elle n'en savait rien, elle ne savait strictement rien de ton père, de tout ses défauts et des erreurs qu'il avait pu faire, du malheurs qu'il avait infligée a sa famille. Non elle n'en savait rien ! « Comment ? » tu continue en beguaillant un peu « Tu travail... Tu est infirmière alors ? Cela vas de soit... » évidement que pouvait elle faire d'autre ? Sainte Shoshana , toujours prête a aider son prochain, elle avait la tête de l'emploi en plus de cela. Elle devait être douée pour parler au patients, cette fille étais la gentillesse même. Enfin pas avec toi bien sur « Donc tu travail avec le vieux... Il ta déjà toucher de façon bizarre ? Je sait qu'il a toujours eu des relations particulières avec ces infirmières et qu'il adore les jolies blondes » tu recommence a l'embêter parce que, finalement tu resteras toujours un casse bonbons, et tu aime ce comportement. Ca met de l'ambiance et bon Dieu, ce que c'est bon !

Elle soupira«  T'est pathétique Jules, vraiment !» Elle leva les yeux au ciel, comment ce garçon pouvait il être a ce point insupportable ? Il passa sa main dans les cheveux de Shoshana, elle poussa sa main avec violence. Si il avait bien une chose qu'elle ne voulait jamais qu'il fasse c'était sa. Son petit numéro de séducteur a deux balles ! Elle s'éloigna encore pour aller sentir des hortensias, et il lui demanda si son père l'avait déjà touché bizarrement, comment pouvait il être aussi stupide ? De toutes les personnes qu'elle connaissait le père de Jules fessait partir des plus gentilles, oui il draguait quelques infirmière de temps en temps. Mais jamais des jeunes filles de l'âge de Shoshana. Pour le surprendre elle lui répondit « Oui » puis se ravisa, elle se mit en face de lui et le toisa du regard, comment pouvait on a se point être méprisant a l'égard de ceux qui nous ont donné la vie ? Elle ne serait jamais comme sa avec son père, elle l’aimait plus que tout au monde et elle n'irait jamais dans le sens inverse de ce qu'il pouvait souhaiter, c'était aussi pour cela qu'elle était resté a Lewis et qu'elle n'était jamais allé voir ses sœurs. Elle soupira lança a Jules « T'est con ou quoi ? Comment peux-tu être son fils ? T'est trop diffèrent de lui...» c'était vrai, son père était poli et même lorsqu'il se permettait de draguer une patiente, jamais il ne prenait d'air hautain comme le fessait son fils. Elle voyait comment Elijah n'appréciait pas ses propres parents, mais jamais - du moins pas devant elle - il ne dirait des choses aussi méchante sur leurs compte ! Elle regarda le jeune homme avec un peu de pitié, elle pensait plus qu'il était triste a cause du faite qu'il tienne son père responsable de la disparition de sa sœur, et qu'il s'inventait des excuses pour le détester. Rien d'autre. Elle regarda Jules sentir a son tour des fleurs et elle rigole, ce grand imbécile aurait il un faible pour les fleurs ? Ou était il juste la pour acheter des fleurs a offrir a une de ces pauvres filles qui se laissait prendre dans son filet ? Elle senti les même fleurs qu'il venait lui même d'humer et lui demanda « Au faite, qu'est ce qu'un type comme toi fais ici ?» Elle haussa les sourcils a la fin de sa question. Elle savait qu'il allait surement lui répondre quelques choses en rapport avec les femmes, elles ne connaissaient aucun hommes qui appréciait les fleurs, ou peut être Shiloh mais c'était un jeune homme sensible alors... D'ailleurs elle se souvenait que Jules s'en prenait souvent a lui par le passe, il s'en prenait a qui qu’onc était plus faible que lui alors la moitie de la ville était concerner.

« Si tu veut...» tu regarde la jolie blonde de haut de bas, tu prends son insulte avec un sourire. Tu regarde son visage, elle ne serait pas aussi coincée tu lui en aurais proposé des choses. Tu l'écoute parler de ton père comme si il était un type bien, comme si il n'avait pas failli a son rôle pour un entre jambes, tu lui souris, elle te dit que tu n'as rien avoir avec lui. Et c'est précisément ce que tu cherche, ne rien avoir a faire avec lui. Tu lui dis avec une petite courbette pour accompagner tes mots « Merci. Je prends sa comme un compliment. En aucuns cas je veux être comme cette homme » tu t'éloigne sentir des fleurs, ta mère t'avais demandé des rose mais il n'y avait pas la couleur souhaiter, alors tu prendrais des noir. On dit que le noir vas avec tout non ? Tu regarde le prix et fait la grimace, comment payer cette somme pour une chose aussi inutile que des fleurs ?! Les femmes et les lubies de .... Passons. Elle te demande pourquoi tu es ici, tu lève les yeux en l'air, tu la pensais plus brillante que cela « A ton avis ? J'viens acheter des fleurs !» elle aurait plutôt du demander pour qui tu achetais des fleurs, mais elle avait mal calculé son coup. Une occasion pour toi de te foutre d'elle encore une fois, pauvre agneau ne sais tu pas que tu parle a un loup ? Avec toi, elle n’avait pas la moindre chance de rester tranquille. Tu te tournas face a elle, tout en plongeant tes yeux dans les siens tu lui dis avec une voix méprisante « Pas besoin d'avoir fais Harvard pour faire le rapprochement » tu lui fais un sourire en coin, exaspéré cette jeune fille étais vraiment trop facile. Comparer a sa sœur, elle était bien plus susceptible et elle s'énervait plus vite, pas top quand on travail a l'hôpital « Et toi ? Shoshana... » Elle te regarde curieuse, ces taches de rousseurs disparaisse avec le soleil « Ton père ta envoyer ici acheter des bouquets pour tes mamans ? Il en a une troisième et il ne sait pas comment leur dire ? » Tu rigole de ta blague, sa ne ta jamais déranger leurs histoire familiale. Tu aimes bien sa famille d'ailleurs, tous gentils et poli, et tu auras toujours du respect pour cette homme qui a connu la polygamie. Tu te reprends et continue « Un conseil choisis des roses rouges. C'est infaillible et sa rend n'importe qu'elle femme heureuse, des qu'elle va les voir, je t'assure qu'elle va mourir de joie » à la fin de cette phrase ton sourire disparait, tu aurais aimé disparaitre mais tu étais allé trop loin. Et les excuses hors de questions, tu ne t'excusais jamais, question de principe. Tu continuerais, même si tu savais que tu venais de la blessée. Tu t'étais souvenu trop tard que sa mère était décédée il y a quelques années de cela.

Elle soupira toujours « Ce n’était pas fais pour sa » Un compliment ? Comment ce jeune homme pouvait prendre ce qu'elle venait de dire pour un compliment ? Comment pouvait-il y voir une seul chose de bien ? Elle leva les yeux au ciel, exaspérer de la situation, saouler du comportement du jeune homme. Son jemenfoutisme permanent commençais a lui taper sur le système. Elle voulu lui répondre lorsqu'il lui répondit bêtement qu'il était venu acheter des fleurs, et que avoir fait une grande université n'était pas nécessaire pour le savoir. Au lieu de ça elle lui répondit, un petite sourire narquois dessiner sur les lèvres « Pour qui donc une de tes nouvelles conquêtes ? Dallas ne t'as pas assagi ?» Elle était sur que non, un jour une de ses amies lui avait raconté avoir perdu sa virginité avec Jules, et alors qu'elle voulait aller plus loin avec lui, il l'avait lâché car lui ce qu'il voulait c'étais ce qu'elle lui avait bêtement offert. Et seulement ça « Oui ?» Il lui demanda pourquoi elle était à cet endroit, elle aussi, Shoshana n'eu pas le temps de répondre qu'il se mit a parler de la mère de celle-ci. Elle ouvrit la bouche mais ne dis rien, ses yeux s'occultait avec un peu de larmes qui essayait de se frayais un chemin jusqu'a ces jours. Mais elle se força a ne pas pleurer « T'est tellement stupide des fois...» elle regarda Jules, avec une rage dans les yeux. Elle le détestait, c'était mal et elle le savait mais... Elle le détestait, c'était plus fort qu'elle « Oui merci du conseil Jules... Mais je doute qu'elle puise mourir une deuxième fois » elle attrapa un bouquet de roses jaunes, sa couleur préféré. Elle se souvenait que sa mère lui disait que ce qui lui fessait plaisir, lui ferait automatiquement plaisir. Alors elle choisi ses fleurs préfère« Imbécile » elle donna l'argent au vieux monsieur qui tenait la boutique « Voilà. Garder la monnaie !» elle commença a s'en aller lorsque Jules la rattrapa et lui dit.

Comment pouvait-elle penser que tu allais un jour être plus calme ? La mort t'attendais en fin de parcours alors autant faire des conneries toute sa vie et éviter de mourir con ? « M'assagir ? Non merci, la vie est bien trop monotone sinon... Regarde-toi !» Tu t'adosse contre le mur et sort ton paquet de cigarette, tu tasse le tabac dans ta main en la regardant s'en aller, tu sais très bien que tu as déconné mais jamais tu ne lui dirais. Trop de fiertés, jamais tu ne t'excuse devant personne, et surtout pas elle. Bien que la tu avais été trop loin, mais c'étais la petite sœur de ta July, alors tu décide de lui dire que tu regrettes a ta manières. Dire désoler était une chose pire qu'inutile, un simple mot ne pouvait rien arranger il fallait être bête pou le croire, alors avoir la prétention de pouvoir penser qu'un seule mot était a cure a plusieurs était encore pire. Les mots ne peuvent rien soigner, les actes le peuvent. Tu le sais, mais tu ne feras s'en doute rien car finalement qu'avais tu fais de mal ? Lui t'appeler que sa mère étais décédé ? Les milliers de photos qu'elle devait avoir collé un peu partout chez elle devait le lui t'appeler également pourtant, les photos elles, ne demandaient jamais pardon ? « Putain mais aussi vous m'embrouiller.... Je sais plus qui est la fille de qu'elle femme. C'est bon il te reste une mère» C'est vrai que sans connaitre leurs familles c'était assez difficile de s'en sortir dans leurs famille. Elle était la sœur de July, mais pas la même mère pourtant elle avait le même père et vivant dans la même maison, avec ses deux mamans. July était très différente de Shoshana, plus sauvage et plus drôle. Moins depuis un certains moment, depuis qu'elle avait rompu avec son pakistanais. Toi tu t'en foutais royalement, tu n'avais jamais aimé ce mec. Trop bizarre, trop calme pour être vrai et tu doutais de sa fidélité et il fallait le dire, il te la volait. Tu passais plus de temps avec elle depuis que vous étiez a Dallas et c'étais pour le mieux « July est arrivé ?» tu regardas la jeune fille et tu allume ta cigarette, tu prends une bouffée de tabac. Elle descend dans tes poumons sa te fais tellement de bien que tu soupirs, un de tes nombreux vices, malheureusement le seule pour le moment. Tu ne pouvais pas t'en procurer dans cette ville pourrit, tu n'avais personne pour te fournir et Cameron t'avais juré ne rien avoir sur lui. Tu soufflas ta fumer sur la jeune fille sachant parfaitement que cela l'énerverais plus qu'elle ne l’était déjà, mais la tentation de la voir s'énerver de nouveau étais encore plus tentante que la raison.

LLe vent commençait a souffler sur la petite ville de Lewis. On pouvait entendre les panneaux grincer et les volets claquent. C'était la même chose toutes les années à chaque début du mois de juillet il y avait une semaine ou les températures chutait, et les vents s'affolait. Visiblement notre petite ville de Lewis était en pleins dans ses eaux la. La jeune fille fut parcouru d'un frisson, elle était sorti si vite de chez elle qu'elle n'avait pas eu de temps de prendre un gilet, et ses bras était découvert. On pouvait voir se former ce que l'ont appelle communément « la chair de poule » sur ces bras, elle se réchauffa les mains et dit a Jules « T'as prit des cours pour être un connard ? » elle ne pouvait pas croire qu'il continuait d'enfoncer le couteau dans la plaie en ayant le culot de lui dire qu'elle avait deux mères. Elle leva les yeux au ciel, s’Il y avait une raison a tout... Quel était celle de Jules ? Pourquoi était il aussi cruel avec les gens ? Une chose qu'elle ne lui demandera pas, il répondrait inutilement. Elle savait que sa sœur avait disparu et que depuis il était devenue difficile a vivre, de ce que son père disait. Mais pour la jeune blonde ce n'était pas une excuse moins de la, mais elle n’était pas dans sa tête pour comprendre les malheurs qu'il pouvait ou ne pas avoir. Elle serra le bouquet de fleurs dans sa main droite et se frotta la tempe avec deux doigts de sa main gauche, il avait réussit a lui filer un mal de crâne. Shoshana tourna la tête au loin et lui lança « T'est un mec pathétique. T'as vie est si minable que tu dois être horrible avec les autres ? » Et voilà ! Elle lui avait dit, plus de pitié, ni retour en arrière. Il ne les méritait pas de toute façon alors tant qu’à faire ? Il lui demanda si elle avait des nouvelles de July, enfin si elle était rentrée. Elle était blessée que lui ai pu être en contact avec elle et que elle, sa petite sœur, non. Elle lui lança un regard noir et répondit sèchement« On a inventé les téléphones tu sais ? T'as son numéro pour lui demander... Je suis pas sa secrétaire » elle marcha en direction de sa voiture le jeune homme sur les talons, elle ne comprenait pas pourquoi il insistait.« Non mais je rêve !» A vrai dire elle ne savait pas se qu’il l’énervait le plus, le faite qu’il la prenne pour un répondeur humain ou le faite qu’il a aussi peu d’empathie ? La jeune fille ne se permettrait jamais de faire des réflexions aussi blessantes alors pourquoi le fessait-il ?